Expérimentation sonore avec du papier.
Improvisation en studio à 10 mains, 14 oreilles et 2 micros avec des feuilles de papier A4, 80 g/m². Chaque participant combinait plusieurs gestes pour tenter de créer une petite séquence-jeu collective. Il s’agissait de faire un parallèle entre la manipulation du papier pour créer des formes plastiques et la composition musicale (découpage, collage, copie/répétition, superposition, etc.).
Puis diffusion de la performance sur 2 hauts-parleurs.
Abel. Un cadre parmi les autres.
Abel. Modélisation 3 D d’une feuille A4.
Vivien. Le poids de l’administration : une boule lourde de papier administratif fait avec du papier de l’administration… Installation + vidéo d’une performance.
Alexandra. S’attaquer aux traditions : brûler des origamis.
Romane. Reconstitution d’une feuille A4 transformée en puzzle. Mémoire à travers le jeu (performance).
Kyu. A4 comme un cadre physique et conceptuel.
« Le concept de gestell et le concept de groundlessness posent la question de notre compréhension du ‘ground’ (la base). Le A4 est envisagé ici comme l’un de ces possibles ground en tant qu’échelle de mesure et en tant que surface vide. Le travail sonore tente d’interpréter les possibilités numériques du format A4 où l’échelle et l’espace numériques de ce format sont transformées et amplifiées par les ondes sonores. »
Fausta. Lumière et papier (performance).
Laboratoire de la feuille A4 